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J’ai appris les bases du vitrail en 1993 et ça a tout de suite été la passion. J’ai continuellement amélioré ma technique mais la découverte du travail du verre au four en 2004 m’a ouvert un monde d’infinies possibilités. Je peux maintenant traiter ce matériau de façon plastique.
Ce qui me fascine, c’est l’union du matériel (verre) et de l’immatériel (lumière). Le verre capte la lumière, la colore et la transforme par ses textures alors que la lumière permet à la pièce de verre de se dilater dans l’espace.
Mon travail de céramiste s’oriente principalement vers des objets décoratifs allant de la petite série à la pièce unique (Assiette, coffret, bouteille, cache-pot, urne, et bougeoir etc.).
Le bois offre ses beautés à l’artisan ébéniste, c’est un honneur de le mettre en valeur et de lui conférer une nouvelle utilité.
…Un monde riche à découvrir…
Je crée des sacs à bandouillère en utilisant entre 89% et 95% de matériaux recyclés, ce qui a pour effet que chaque sac est unique. Je tricote des tuques en utilisant de la laine canadienne. Avec ma collaboratrice Marie-Andrée Gilbert, nous formons le collectif Les Raboussiers qui publie à compte d’auteur des livres illustrés fortement inspirés de notre existence.
Visitez le site d'Olivier Bherer-Vidal!
Je suis artisan depuis 3 ans je conçois des objets en laiton et aluminium décoratif
Mon travail a fait l'objet d'un reportage sur BeauceTV
TabloÉcolo est une technique que j'ai inventée en hiver 05. C'est un travail de récolte de plante dès le printemps jusqu'à l'automne. Ensuite, c'est le séchage et l'entreposage. Je crée des mondes imaginaire au moyen du collage des plantes, fleurs, feuilles, mousses, lichens, écorces.. J'ajoute des touches acryliques métalliques de 6 tons différents et protège le tout d'une solide laque pour protéger la surface de mon travail.
Malgré la flamme artistique qui l’anime, Isabelle Turcotte a fait des cours dans des domaines loin des arts. Puis, elle se décide à créer une « petite entreprise » de maquillage artistique parallèlement à ses études. Elle devient artiste et gestionnaire, ce qui lui donne l’envie de développer plusieurs entreprises; elle cotoyera entre autre l’univers du costume et de la marionnette à travers le théâtre pour enfant. Finalement, l’appel du travail manuel est trop grand et elle retourne aux études faire un cours en ébénisterie artisanale, métier qu’elle pratiquera plusieurs années avant de se tourner désormais vers la sculpture ( bois et forge ).
De retour en ville après quelques années passées à la campagne, elle se déniche un local en plein cœur de St-Roch ( Basse-ville de Québec ). Ouvrant celui-ci au public de l’été 2005 à l’été 2007, elle anime ce quartier de ses vitrines colorées. Sa boutique-atelier, maintenant déménagée dans le quartier Limoilou, s’appelle toujours «
Depuis maintenant vingt ans ans, Isabelle pratique comme artiste multi-disciplinaire. Avec les marionnettes, elle rallie ses connaissances et donne un sens à ses œuvres. En fait, elle fait un amalgame de tous ses talents : couture, peinture fine et sculpture donne vie à des marionnettes plus saugrenues les unes que les autres.
Sous le nom de
Julie Gaudreau: Ma création est intiment liée aux textiles; au mélange des matières et des textures. Avant même de penser au modèle à réaliser, je crée mes gammes de couleurs, je recherche mes tissus, je mets en place mes balises. Je m’attarde au jeu entre les couleurs, aux contrastes.
Visitez le site de Julie Gaudreau!
J’ai commencé à fabriquer des bijoux en argile pour le simple plaisir de créer. J’étais littéralement passionné par ce passe-temps, j’en oubliais le temps. J’étais alors en administration et je sentais que ce n’était pas vraiment ma vocation. C’est ainsi que l’année suivante j’ai entrepris des cours en joaillerie. C’est cours ont vraiment donné un sens à ma vie tellement que j’ai décidé d’en faire un métier. Diplômé en 1998, j’ai fait mon premier salon cette même année et mon travail fût couronné par le prix de la relève du salon des métiers d’art de Montréal. Je participe depuis ce temps à ce salon et bien d’autres tel que la foire de Paris en Europe. J’ai aussi fabriqué des collections de bijoux inspirées de grands maîtres de la peinture tel que Van gogh, Monet, Jean-Paul Lemieux pour le musée des Beaux-art de Montréal. Ce travail m’a permis de perfectionner la technique de sculpture sur cire. Ainsi mes pièces sont souvent créées par cet intermédiaire. J’aime aussi combiner la cire à des matières organiques pour donner du relief aux bijoux. Maintenant, je crée des collections de bijoux thématiques tel une collection inspirée de l’Égypte et j’ai également une collection de coupe-papier sculpturaux inspiré des oiseaux. La nature et l’histoire de l’art influence ainsi beaucoup mon travail.
Après avoir suivi une formation de verre soufflé à l’école Espace Verre de Montréal, je décide de construire mon atelier de verre ce qui me donne la possibilité d’y travailler à plein temps.
Depuis lors, je crée des œuvres uniques ainsi que des objets utilitaires en verre tout en donnant des ateliers en verre soufflé aux adeptes désireux de parfaire leurs connaissances et laisser aller leur créativité.
Mon travail puise dans une variété de techniques alliant tous les médiums du verre et de recherches continuelles de superpositions de couleurs applicables au verre. Les techniques à l’honneur sont en plus du verre soufflé, la pâte de verre, le thermoformage, le verre coulé ainsi que le vitrail. De la rigidité à la fluidité, de la transparence à l’opacité des couleurs, les possibilités du verre sont à l’infini. Mon plaisir est une continuelle recherche des formes, élongations et colorations. Ces multiples croisements en font un tout unique.
Site de Mario Carrier, souffleur de verre.
Aussi loin que ma mémoire me le permette, j’aime dessiner et «colorier». Dans la vingtaine, j’ai fait des études en art vestimentaire. Par la suite, j’ai expérimenté la peinture à l’huile, à l’acrylique et à l’aquarelle. Aujourd’hui, au plomb, au fusain, à la sanguine et même au stylo je continue de dessiner. Ma récente étape est «l’ennoblissement des textiles». Je pratique diverses techniques : du batik avec des bains de teintures, de la sérigraphie, de l’application directe, etc. Mon matériau préféré est la soie blanche. J’ai une grande quantité de foulards disponible dès maintenant pour la vente et quelques murales. Je suis aussi disponible pour des projets sur commande. Contactez-moi par courriel au rachelgoulet@lycos.com
Ianik Wright-Larin est née à Québec en 1976 et demeure dans le quartier Limoilou depuis mai 2008. Son parcours éducatif est long et sinueux, passant par un certificat en arts plastiques à l'université Laval en 1997 et une maîtrise en urbanisme à l'université de Montréal en 2000. Son cheminement professionnel aussi, oscille entre le coeur et la raison. Elle travaille d'abord dans le domaine de l'environnement mais l'arrivée d'un bébé et d'une nouvelle perspective, en 2006, la ramène irrésistiblement aux arts plastiques et à l'illustration. Depuis toujours, elle créé quotidiennement des images reflétant des événements, des songes, des idées, des poèmes et des aspirations, dessinant tout bas ce que d’autres disent tout haut. Ses thèmes récurrents sont la figure humaine, le jeu d'échecs, les araignées, les planètes, les oiseaux et la maternité. Ses influences visuelles les plus connues se nomment Hergé, Julie Doucet , Maud Lewis, Frida Kahlo, Odilon Redon et Edvard Munch. Actuellement, ses outils de prédilection sont un ordinateur, une tablette graphique, un scanner et des logiciels standards de dessin. Elle touche cependant à d'autres médiums comme la peinture à l'acrylique, la gravure et le collage. La plupart du temps, ses peintures commencent leur vie publique sur son blog d'illustration, Bananoriz, d’où elles peuvent s’envoler librement. Ils se retrouvent aussi parfois sur des cartes de souhaits et autres objets.
Amikaz a pour mission de accessible l’achat de vêtements permettant de se démarquer, d’être soi-même à travers un style vestimentaire et de vibrer de couleurs sous les lumières « blacklight »
Nourrie de différentes explorations dans les domaines du verre et de la macrophotographie, je suis en constante évolution. Chacune de mes expériences antérieures laisse une trace ou guide ma production actuelle et ma démarche création.
La macrophotographie m’inspire beaucoup. J’aime que les gens s’approchent de mes créations afin de découvrir la multitude de détails. Je suis fascinée par le monde miniature et cette passion m’a amenée vers la joaillerie. Tout comme la photo, cette discipline me permet de figer le temps, de saisir ces moments précis et lui permettre de perdurer à travers les âges. De là découle l’objectif principal de ma création, soit de capter le regard.
Mes sources d’inspiration sont diverses. Je privilégie l’abstraction qui illustre ma façon de voir le monde.
L’oeil attentif qui observe mon travail peut me découvrir tout autant que l’objet lui-même. Ce dernier dévoile bien souvent quelques aspects de ma personnalité. Ainsi, le besoin de préserver mon intimité tout en restant une personne extravertie se traduit souvent par un jeu de formes cachées et de contrastes. J’utilise ainsi les pleins et les vides, certaines parties sont camouflées tandis que d’autres sont éclatantes. Je suis en quête de pureté et d’équilibre. Je privilégie les formes de type organiques et j’aime créer des zones d’ombres parmi la lumière. Mon désir d’associer métal et verre en est un indice, la transparence du verre côtoit alors l’opacité du métal.
Sommes toutes, ma production future saura refléter toutes les caractéristiques qui me représentent tout en gardant une ouverture sur l’évolution de …on verra
Ma passion pour les bâtons de pèlerin et les cannes a débuté en 1998. Ce qui devait être une activité passagère est vite devenue une passion. Un autre et un autre, à la recherche de la pièce rare. Tous les bâtons sont différents donc, uniques. Chaque arbre étant différent des autres, il en va de même des bâtons qui sont fabriqués à partir des racines de l’arbre. Lorsque je termine un bâton je suis moi-même surpris du résultat. J’aime travailler différentes essences comme le cèdre rouge, le cèdre blanc, le sapin, l’érable, le hêtre, le pin, le bouleau, et tout dernièrement, le tournesol. J’ai aussi le plaisir de me rendre dans la forêt à la recherche de ces petits arbres, de les déterrer, de couper les racines, enlever l’écorce. C’est à cette étape que je vois ce que je pourrai en tirer.
Je crée et m’adonne à l’art depuis plusieurs années. Formée en art visuel au CEGEP du Vieux-Montréal et à l’Université Laval, j’ai aussi touché à la scénographie et à l’artisanat. Je suis détentrice d’un baccalauréat en enseignement des arts.
C’est en autodidacte que j’ai poursuivi mes démarches personnelles de création. Depuis 1998, je me consacre à la technique traditionnelle et millénaire de la détrempe à l’œuf, aussi appelée Tempera . J’explore aussi, via la sculpture et la création de poupées artistiques, le travail en trois dimensions.
Plus que de simples objets, mes poupées sont des personnages animées, des sculptures presque vivantes, autant d’œuvres uniques inspirées tant des matériaux qui les composent que de l’univers théâtrale qui est aussi ma passion.
Être aux oiseaux…
Contactez moi au : charuest_althot@hotmail.com
Lire un article sur Diane Charuest
Photo: Petite nyctale,2006, Collection privée
En ce moment, je travaille à construire ma nouvelle collection. Je convoite une pépinière de bagues insolites, plus proche de la sculpture que du bijou. Je veux produire quantité de bagues essentiellement ludiques et ahurissantes. Dans un premier temps, je me donne un temps de laboratoire où je me permets des tentatives improbables, ou j’explore différentes combinaisons techniques, et m’amuse avec des matériaux inattendus.
Le procédé de la coulé à la cire perdue redevient le procédé de base, mais je prévois l’intégration méthodes acquises et perfectionnées à la faveur de la collection régulière, soit le Kum-Boo et l’embossage à la presse hydraulique.
Le travail de recherche génère quantité de pièces uniques. Certaine d’entre elles seront vendues, à jamais seule de leur race. D’autres, par contre, enfanterons de sœurs et de cousines qui poursuivront leurs meilleures idées. Dans l’idéal, mon but est d’en arriver à élire 12 modèles qui formeront la collection définitive et reproduisible en mini-série.
Pour financer cette activité de recherche, je solde mes précédentes collections.
La Macédoine Artistique est une expo-vente en plein air, sous chapiteau, présentée dans le cadre champêtre du Domaine Maizerets. Nous fêtons cet été la cinquième édition de l’événement. Vous pourrez y rencontrer 35 artistes en métiers d’art et en arts visuels dont la majorité sont de Limoilou. Ce sera l’occasion d’apprécier et acquérir leurs dernières créations et d’assister à des démonstrations sur place.
L’expo-vente se déroulera sur 2 jours, soit le samedi et le dimanche (22 et 23 août 09) et sera précédée d’un vernissage vendredi soir le 21 août.
Samedi le 22 de 10h à 21h
Dimanche le 23 de 10h à 17h
L'entrée est gratuite et le stationnement facile!
Une signalisation sera présente sur le site du Domaine Maizerets pour vous guider jusqu’au chapiteau.
Cliquez ici pour voir la carte routière menant sur le site du Domaine Maizerets.
Art-go création, meubles, techniques mixtes
Les ateliers de création Pop-Cycle
Valérie Beaudry, artiste peintre
Sylvie Beaulieu, joaillerie et verre fusion
Lise Bernard, peintre Acrylique – Technique mixte
Sophie Bouchard, poterie
Sylvie Cauchon, céramiste (modelage)
Diane Charuest, émaux sur cuivre
Cathia Deland/MASKARADE, designer de vêtements
Julien Delisle, sculpture et tournage du bois
Isabel Denommé, tablo écolo
Vicky Dessureault, Cannage et rempaillage de chaises antiques
Colombe Falardeau, dentelles aux aiguilles
Jean-Louis Favron, aquarelle, acrylique, pastel sec, bas-reliefs sur argile
Jacinthe Gaulin, peinture acrylique, dessin
Johanne Hamel, verre fusion,vitrail, mosaïque de verre
Thierry Michel et Karine Graulier, ébénisterie et peinture sur bois
Dominique Pépin Guay, ébéniste éco-design
Claude-Félix Pomerleau, machiniste-artisan
Danielle Tétreault : Poupées artistiques
Michelle Verreault, sculpteure sur bronze
Bien sûr! Contactez-nous si vous voulez être de nos partenaires, soit par votre commandite ou votre soutien en biens ou en services. Écrivez à Karine Rodrigue : naphtalene(arobas)hotmail.com pour obtenir notre plan de publicité.
La période de recrutement est terminée. Écrivez à Jean-Louis Favron : macedoine.artistique@yahoo.ca pour être sur la liste d'appel de dossier pour 2010.
La Macédoine est réalisée par un groupe d’artisans bénévoles dont Diane Charuest, Karine Rodrigue, Julien Delisle, Danielle Tétreault, Marc Gourdeau, Rachel Goulet, Sylvie Beaulieu et Jean-Louis Favron.